Cet atelier met en scène six pêcheries autour d’un bien commun, l'océan. Elles devront mettre en œuvre des règles communes, entre nécessité de survie, recherche de profits et gestion des ressources de la mer, les négociations risquent d'être intéressantes...

Après une entrée en matière sur notre rapport au vêtement, nous allons par le biais d'un jeu de rôle se mettre dans la peau de personnages et découvrir les acteur·ices de la filière coton aux objectifs bien différents. Industrie la plus polluante après celle du pétrole, l’industrie textile a un impact social tout aussi dévastateur. Cet atelier permet aux élèves de mieux comprendre les impacts, les mécanismes et les intérêts qui s'affrontent autour de la confection d'un vêtement.

Nous proposons aux participant·es de réfléchir aux politiques publiques à mettre en place dans plusieurs villes pour un meilleur développement, respectueux de l’environnement et de l’être humain. Cet outil s’inscrit dans la réalité de six villes dans le monde. Des expériences réelles sont présentées afin d’être inspirantes.

Par un jeu de classement de produits et de réflexion sur des items nous passons en revu les différents labels que nous croisons au quotidien dans nos supermarchés, épiceries... Nous questionnerons ainsi qu'est ce qu'une alimentation durable, à quoi elle réfère, quels sont les labels les plus systèmiques et éthiques, lesquels ne sont  que "de la poudre aux yeux".

Inspiré du célèbre jeu « Le loup Garou de Thiercelieux », les joueur.ses doivent débusquer ici des maladies liées à l'eau. Ce jeu alterne des phases de nuit où les villageois.es peuvent être touchés par des maladies liés au manque d’accès à l’eau ou aux infrastructures d’assainissement, et des phases de jour où ielles cherchent à débusquer les maladies et à améliorer leurs infrastructures afin de ne plus tomber malade ! Des évènements extérieurs viennent dynamiser le jeu.

Cet atelier porte sur la répartition du prix d’un jean, qui en retire quoi ? Quelles sont les inégalités qui en découlent ? Comment un vêtement qui nécessite d'être cultivé, nettoyé, filé, tissé, teinté, assemblé ne peut coûter qu’une dizaine d'euros ? Ces questionnements permettent également de découvrir le chemin que parcourt un jean, de la production du coton jusqu'à notre armoire. Et de réfléchir collectivement aux impacts de notre garde-robe.

Ce jeu de rôle et de négociation mêlant ouvrier·es, propriètaires, importateur·ices, supermarché,  permet de mieux comprendre le fonctionnement de l’offre et de la demande, du commerce international et la formation des ententes.

Au travers de différents modes de jeux partagez vos connaissances et confrontez vos idées sous forme de débat autour des enjeux économiques, alimentaires, sociaux, environnementaux, et territoriaux de la transition agroécologique.

Apportez des solutions (cultures intermédiaires, projets collectifs, association cultures et élevages, légumineuses…) aux problèmes liés à l’agriculture d’aujourd’hui (érosion des sols, perte de la biodiversité, prix agricoles volatils, alimentation ultra transformée…).

Cette mise en situation, au travers de multiples rôles, permet de représenter par une ficelle les liens, implications et impacts de nos choix de consommation. Il offre un éclairage sur les relations entre notre assiette quotidienne en viande et produits animaux et diverses problématiques. 

Ce jeu, créé par le CIRAD, nous emmène sur une île imaginaire d'une grande richesse forestière. Les joueur.ses endossent le rôle de membres d'une des 4 communautés des lieux et essayent de trouver les meilleures options pour assurer la subsistance de leurs familles en choisissant parmi diverses activités qui permettront de mettre en avant les impacts de nos choix sur la nature, corrélée à une démographie galopante et la création par le gouvernement d'un parc national...

Pour ce jeu de rôle, chaque participant·e incarne un personnage fictif au sein de 5 pays différents, et se retrouve confronté à une situation problématique sur la ressource eau. Le jeu permet d'aborder plusieurs enjeux actuels sur la gestion de cette ressource, et de vivre les rapports de pouvoir entre acteur·ices. 

Après avoir composé leur plateau repas, comme à la cafet', les joueur·ses découvrent et analysent la valeur nutritionnelle et environnementale de leur menu. Ces résultats servent de base de discussions sur l’équilibre et les habitudes alimentaires, les notions de bien-être et de plaisir. Mais aussi les kilomètres parcourus par leur repas, les modes de transport et l'équivalent CO2 produit.

Jeu de plateau semi-coopératif où chaque personne exerce une totale souveraineté dans ses choix. Si le but du jeu est commun – développer une agriculture qui permette à chacun·e de boire et de manger à sa faim – les actions sont individuelles. Comme dans la réalité, nos choix ont des incidences. Comme dans la réalité, c’est à nous de décider ce que nous souhaitons pour notre futur.